( 2.89)
~·nvironnoient
le
trone
r
Les occasions de
s'elever contre un sacrilege trafic se presen–
t<>ient au .clerge
~!
des
epoques regulierement
renaissan.tes, mais
q1-1e
faisoit - il clans ces
assemblees
?
Au lieu de chercher un remede
~
la deplorable ·destinee de la .religion , et
d'ecla.irer la sagesse, d\111 prince religieux et
j.uste; sur l'impicte qui laisso.it le soin de
pourvoir de pasteurs l'eglise de Fra11ce , a_px
impitoyables oppresseurs du peuple, ils por–
t"Oient puerilement aux pieds du monarq-tie·
~m
vain et Hlche tribut d'adulution, et des
con–
Hib1lti·ons dont il imposoit la charge
a
la
classe pa.uvre,
' a~sidue
et residente des ou–
vriers evangeliques. ( Nouveaux applaudisse–
mens ). Et
1
qui· ne voit CfUe
demand.er une
<1utre forme -de nominations aux offices eccle–
siastl.ques ' eftt ete ' clans nos prelats ' con–
dam l'ler trop ouvertement leur creation anti–
ca'1101'ique' et s'avouer
a
la face de la nation '
pour des
intms
qu'il faHoit destituer et rem'."'
placer? ,,
<<· QHe
Si n'osant reprouver d'une maniere
absoh.tele retablissement de la forme elective'
pour les offices ecclesiastiques ,
les prelats
tepetent encore que le mode decrcte par le
Tomt V.
T