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que
l'adntini&trJtion
monetaire efl: chargee
de
1
.
la
confervation
~cs
loix. Lorsqu'il s'agit de
determiner 1etendue des travaux politi-ques .de
cette administrati0!'1,
il
ne
Jui
donne
d'autres- .
fonctioqs que de prcfcrire
le~
priocipes
fo'u.s
les loix rigoureufes du wJcul.
.
Quoi
!
.ri'en que
'• des calculs! Je
l'ai
dit clans ma reponfe
_a'
.lVL
Soligqac,
&
je le
repete
id;
il
miefl:
im–
poffible de faire
defc~ndre
mes idees au niveau
d'une politique
aufii
mefciuine.
L'admlnifirateur
des rnonnoies peut fans
doute
&
doit conno!tre ccs.
czrlculs
rigqureux; ,
mais its compofent la partie
la
moins impor-
tante des connoiffc1nces
d'llll.
~none~aire
veri-
.·'\
·table. L'arit11meticien le plus vulgaire peut de-
venir en
m1
d~mi.quart
d'heure profeffeur en. .
chifLcs
nwnetaires,
Le
co
mite
11f'
p-?tr!e p::is meme de
'Ia-
fcienG&
des
n1onnoies;
il s'efr
borne
a'
divifer fan tra–
~ail
en plufieurs qnell:ions
qu'il confidere
con.1n1.e
devant
fervir
de
bafes.
&
d~
J?rincipe.:(;,
R-4: