28 / 570
( 22
)
bunal qu'il faut attribuer une partie des
ae.
fordres qui
s'y
font
introduits.
Le comite
p~rle
avec regret de l'inexecu·
tion
des loix monetaires; mais les connoit-il
ces loix? Et s'il
les connoit, comment
n'en
a-t-il pas apprecie to us les vices?
II
p~ule
de
1
inexactitude de quelques ma·
nipulateurs : admettons !'existence de cette
jnexactitude; c'eft un mal
ac~identel
qui tient
a
l'imbecilli te de nos loix; mais q uand
011
parJe
de
}'ine·G1Ctitude
depuis qrtelqttes annees,
jc ne vois dam
c~tte
a[fe rtion
q
u'une inique
malignite, & je
dis:
on~
trompe votre comite.
J'ai
&
j'offre de produire la preuve que
la
maffe
de nos nouvelles ef
peces
d'or. efi au titre com–
mun
d~
2 I
Karats
20
trente'...deuxiemes
fort1.
Efperons que ces calomnies feront les derniers
soupirs de l'agonifante cour des monnoies.
P.
S·
La partie monetatre'
dit votre comite'
Je
divifo naturellement eu deux branches, l'rme
politique
>
l'autre
mechcmiqtte;
mais
il
oublie