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t
le
foyer
du
trouble résideroit
á
perpétuité
dans le sein de l'église de France. S'il prend
enfin
r
esprit <le la
révolution et
de la liberté'
le peuple s'honorera d'invoquer sa sagesse et
d;écouter ses conseiis dans toutes les grandes
cléterminations
qü'il
aura
a
statner
pour
le
maintien
des
loix ,
et
pour
la
juste dis–
tribution des
emplois
religieux
et poli–
tiques ..
''
>'
L'influence
de
l'a
nci en
clergé
sur
les
élections
ecc1ésiastiques n'a point d'autre
origine que le
respect et
la co11fiance du
peuple. Vous savez, prél2ts qui m'entendez,
~·
1
.
'\
d
Vous savez qu
1
ne t1ent qua vous
e vous
faire adoret des hommes, et de devenir les
oracles de tous leurs conseils. Ressemblez
a
vos anciens prédécesseurs , et vous verrez
,
h!entot
le peuple ressembler
aux
ancíens
fideles
et ne vouloir
nen
faire
san=
ses
pasteurs.
'' Quoique
je
n'aie pas en dessein, messiettrs,
de vous €xposer l'analyse
et
la réfutation
d'un
écrit
qui n'a pour base que
les traditicns
surannées
d'une
tl~ é
)logie
arbitraire et incon–
séquente, je
ne
puis
né~nmoins
me dispenser
y