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souíterte. Alo:rs
les pretres
ne
demandoient
p·our elle, aux ma1tres du monde,
que
de la
~ais.s.erépaiH:her
dans
le
sein
de
l'homme
ses .
hienfaits inestimables. Alors
ses
pontifes
hértis·
soient les
puigsances
de: laissei:
reposér
le
glaive qui
~voit
immolé tant de pasteurs véné–
rah!es, et de regarder les modestes
.organes
'
-
\
de
l''évangile avec
bienveillance'
ou
meme
s'ans,
colere. Alors ces ouvriers
austeres
et
infa.:.
tigables..
ne
connoissoienlt
d'autre
source
de
le.urfrugale
St\bsistance .,
que
le~
aumónes
de
ceux
q~i
recevoient
l'évangile,
et qui em-
/
ployoient
leur
minister
1
e .. ,,
•
1
'
.
~~ Concevez~vous ~
1nessieurs ,_
quels
eussen_t
..,été
l~s
transports de ces horpmes si dignes de
la
tendre et
religi'euse vénération qu'ils ins–
, ¡ürent, si la
puissanc~
romaine · eflt
ménagé
de
leur
tems'
a
la religion'
le
triomphe
que
' lui ássurent
aujourd'hui les
législateu~s
de la
france? Et
e'
est ce moment
011
vous .rendez
_sa
destiné.e
inséparable
de
celle de la nation,
~
Oll
VOUS
l'incorpore~ .
a
l'existence de
ce
grand
E.mpire,
oii·
vous · consacrez
a
la per–
pét~tÍt.é -
de _son
regne
et. de son
culte'
la
plu~
solide portion . de la
substan
ce
~e _
l'
état;
e'est
(;e
moment
ou
voils.
·1a faites -si
glorieús~ment