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si le coinite n'a pas
ere
institue pour ce&
sortes d'informations , malheureusement
s\i
necessa ires.
Les faits sont vrais ou ils sont faux;
s'ils sont
vrais,
comme certaine
crainte,
cer-
- taine
opiniatret~,
certain tumulte nous donnent
droit de
le presumer' ils ne peuvent
etre
connus qu' en
laissant
achever paisiblement
l'enonci ation >et
developper
leur information;
s'ils sont faux, qu' en redou te
-t -
on?
Quel
etrange scrupule pourroit en arreter la lec–
ture au mi Leu des libelle.>
qui
nous
envi-.
ronnent? ))
M.
d Espremenil
demanda fortement qut?
cette piece ne
flit
pas lue.
Des
ptaintes
ano~
n,yme-s
!}
di
t-ir,
sont des libelles.
MIRABEAU.
»
M.
d'Espremenil n'a pas
di
t
,
ce me.·
s~mble'
un
mot relatif
a
mon
opinion et
a,
la
question; (
de bruyans murmures se
font
entcndre
de
la
partie
droite);
si
cette
asserj
tion se
jugeoit
par
les eclats dont on
fait
retentir cctte salle , il se-mbleroit que je
n'ai
par
e
que d'une
clelation ;
j'atteste tout
ce
f'!Ui
est irnpartial que vo1ci ce que j'ai dit :
dans b
serie des
pi~ces
que presente votre
eom.ite,
il
s·-en.
trouve une qui
n'e~t pa~
/