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1
qui~ homme ·de
'gU'en;·e, ·
homme d,état,
tout
e>t1semble,
n',avoit
besoin
que
de
1il'etre
pcts·
:né
,
I
sur le
tróne
l,
pour
acquérir
des
droits
~
l'adn~i-
1,
tatiom de tous
les amis
de
la'
philosophie
éf
de
-
'
I
l''humanité.
Frédéric-GuiUaumr lui·succeGie., et
I~
jour
de son
avenement
au
tróne-,
Mir.abeau;·
le cito
yen
d~
taus ·les lieux, l'am~ de
toutes
,
les nations,
pré~ente
lui~G~eme
-;,lll
tlOUVeaU
,
monarque
(:O, noa
pas des ·éloges
·de lui
' mais
des
élo;ges
du
peuple;
non
p.ac;
des
vre1:1x:
pour 1ai,
ma:is
des
vooux
pqur'fo
peupfo;
amt
pas
des
conseils
pour
son,
bonheu·r
exclusif,
1
-
ntais dres coraseils, pom le.bonheur du
peuple.
Mírabeau apprend
a
Berlín,
qu'~ne
assetn–
blée de notables est
coriv~quée
en
France,
H
~r~voit
qii~,
ks
états-~énéra~x la suivron~ de
.p~~s
[2];
aussi
tót
il_
se
d_it
a
lu~.
me ::ne, ,~
Dans
·.,
.t
_( I)
Lettre
r!:'rnise ..
a
f
rédéric
GuiHau.m.e
II,
roi
régnan't de
~rus se,
le jour de son
aveµe–
ment au
trone.
Brochu.rein-8°.
( 2)
Dans -
5011-
histoire secrette
·
de
la ~our de
,
Berlín.
''I_'
ome
ff,
pag.
f5?,
lettre 64, en
date _;
I
f
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