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Ble,
pmi r
la liberté
9es
Holla-naois; la
foibles~e
'·¡,hysiqne
de
la
H9Ilande,
redouble. ses
ankré–
tudes
et ses ~1larrnes. II veut
que
son
p~ys
s,'ho–
nore aux yeux du monde.
11
demandé aljx
Fr~n–
~ais
de· secourir
les Bataves." Voú:z ,,
dit-il ,–
E~ sArnE POLITiQUE ,-COMME .EN MOR ALE'
LE
· F©RT
00.ITP~01'ÉGER SON VüWIN
FOIB-LE;
IL
: l'AIT UN
ACTB
J)B JlJSTICIL,'S'lL
N't:ST
PAS SON
ALLIÉ; l L R.l:.1\
1P.Ll T UN
m.
VOIR,
LORSQ_U'IL EST
SON AMI.'"'
(I)
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Bientot
apres,
ce méme
Joseph
II
s'obstine
~
vivre despote, et ne
cr~inf'pas
de
s'opposer
a
ce
qué,
ceux qu'il appelle
ses
sujets, puissent se
dérober
a
son
despotisme. II proclame des
1oix
"contre l'émigration.
"P1'
0T.t.GE,luí écrit Mira–
óeau,
..I..A
LIBt.tnÉ DE
PENSER
(2),
LAISSE
LE
r
. ( I)
Doutes
stir
la liberté de ·l'Escaut. Un
vo\. ·
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G>O·
8
.
1n-ó • pag.
9.
.
.
(2)
Lettre
a
l'emp€teur
Joseph II, sur son
r~glement
concérnant l'fmigration..
B'rochure
io-8°. pagw
40.
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