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bo1,T<tl!Y.~ · et
l<cs ex,tc;
;tjo.nsG~~nmi$~es
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pri$Ol'lS·
Q·'état,
}:}!lf
le$
plus :
~\it11és
et
les .
prelil1Íers valets ·du
despot isme.
~1fais _
dims·
]~q
1
ud,
il
OSf. PfQUVtr ~u',il
n'e~istoit
c!U.CUne
Joi 'de
l'empire,
qui
a_u tQrisi~
ks
emprisonne-~
niens arbitraires
?·
dans
Iequel':,
il fi~ ,
1uie.uxencore'
il
' avertit les
peres
cle
fanülk
que . '
l~ ¡1atur~
ne
les, a,voit pas c~éé~
pour¡
étre
des
-bourre a,ux;
qu'elle
leur avoit confié,
J1on
·pas.
·1e soin
de
se , venger
q'elle-méme, dans leurs
en fans,
mc1is celui
de·
protégrr
leur ·
dé~lle ,
·' c~i·stence, contr.e la faux tran chante et toujours
háti v~ du tems ; d'agrandir teur moral .sans
1
attér,ruer léur
physique;
~e
les
préparer
a
chérir
. leurs semb]ables, au lieu de le$
cont-r.aintl.re'
de
b'onne
hcure
a
les ha1r.
-
\
L'éloge de
'hrnt cur dg
cet óuvrage,
est
é-crit
en caracteres innéfa~able$ , et dans , Pou-
,
''.
'
vr~ge
,luí-me.me,
et
dans
ce
fait
hüportant
a,
rappeller.
V
tRUcN_N'E
s et ,
By,~Tl!.
uíL,
vívoi~nt
e11corc lorsqti'il
fot
pub1ié.
, ,
L'
Amér.1q ue
Septentrio nale
forma
le vreu
.d\~tre
_libre,
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fut;
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