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port.
Je
me suis demandé
a
:moi-meme' comme
pour me
tenir
en garde contr.e mes c;onsé–
quences '
si les
états
ne .
¡;·ourrofont pas
du
, .
1
moins délib
érer
d'une maniere provisoire ;,
et
jie me
suis convaincu qu'íls
ne
le
pour–
roie,nt pas. Quel est done le partl qu'il nous
reste
a
prendre
't
un
seul, messieurs·,
et
je- I~
regarde
comme
le gage
du
salut
et
de
la co11-
corde ; un seul,
et
c'ertes
j'ai ·1e droit
d'en
faíre
l'éloge : ' car je ne ié ptíise pas
dans
mes
propns
idées ,.
mais
dans la
volonté pl1bli~
-que ·,
qui doit etre ma loi , comme
celle d~ .
tous ceux
qui
·m'étot~tent,
Je
veux
parler de
LA CONVOCATION GÉNERAL~
DESTRO:!$. ORDflE§ DE LA PR'OVE~CE
que proyo- ·
quera votre
magnanimité_.Ouí,
messieurs,qué
la
nation proven~ale doive·
ce
bienfait
a
l'élite
de
ses · gehtil-sho111~es
!
qu!un
jour · de ~éflanc;~
et
de
discorde
se
change e,n ~m
joür
de
recon–
noissance
et d
2
al,lég_resse
!
et qui de noµs n~
sent
pas le
besoln
cl'
établir
autremcnt
flO$
rap~
ports
avec le reste. de
fa
nation
?
.
·
· La plu~ haute .
<;orisi~ération ,
l
1
estime
la ·
iníeux
senfie ' ,
le
re_spect· 1~é plus
'inviolable
clev.roient
etre
att~ché's
a:
notre
orcÍre '
et
~ur-tout ·
á
l'impertance e~ A
l'éteúdHe
de nó
5 .
fcn~tiops
r cepen~ant
·tout
é-st
n10rne
a
n9tr~