f:N Á U TRiéHE,
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des blanchisseries
a
Friedland, Machendorf e t
H ab endorf; du reste, l es commen; ans de ce cercle
envoient leurs toiles hors de
la
Boheme pour
y
etre blanchies. On observe de grandes blanch isse–
ries dans l es cercles de Leutmeritz et
de
Bidschow .
Celles de Rottenhaus, dans le cercle de Saatz .,
sont
par ticulierement destinées au blanchiment d es
piqués et de cotonnades
:i
de m eme que celle~ d e
Tnpadl, dans le cercle -de Csaslau. Les
manu-.
fa ctures de piqué et de mousseline
du
cerde
d'Ellhogen , ayant pris
un
accro issement consi–
d ér able , ont nécessité l'établissernent
de
p lusieurs
blanchisseries; aussi en existe-t-il maint enant
q uelques- unes
a
Prague.
On
en compt e
meme
p l u s de cent dans la Boheme.
Les
fils
a
coudre et
a
tisser se blanch issent
principalement dans les cercles de Bunzla u,
<le
Leutmeritz et Bidschow. Le nombre de ces bian–
chisseries s'élevoit, en
1808,
a
plus de deux cents.
Ell es n'ont comm encé
a
se multiplier que dans
la,
seconde moit ié d u d ernier siecle. Auparavant,
il
n'y
avoit dans t oute la Boheme que celles
de
Kamnitz, qui é toi ent si peu considérables, qu'ell es
ne pouvoient
gu cre
blanchir plus de quatre mille
paquets de fil,
tandis qu'actuellement on en
hlanchit au-dela de deux millions dans tout
le
roya ume.
Enfin
la blanchisserie établie
a
Landkou par
M. Erxleben,
est
le premier
étahlissement
de
e~-