ACTE I, SCENE V.
Hier il m'a heaucoup flattée;
A
présent
il
ne me dit ríen.
Il
court, ou je me trompe, apres cette étrangere :
Moi je cours apres lui; tous mes pas sontperdus;
Et
depuis qu'elle est chez mon pere,
Il
semble que je n'y sois plus.
Quelle est done cette femme et si helle et si fiere ,
Pour qq_i l'on fait tant de fa9on~?
On
ya polir elle encor donner les violons,
Et
c'esf ce
qui
me désespere.
HERN
AND.
Elle va tout gater..... Mademoiselle, eh bien,
Si vous me promettiez de n'en témoigner
ri.en,
D'
etre discrete.
SANCHETTE.
Oh! oui,
je
jure de me taire,
Peur-vu
que vous padíez.
iíE
R.
N
AN:ó.
Lf!
seci'et,
le mystere
Rend les plaisirs piquants,
S
*
N CH ET TE'.
183
Je ne vois pas pourquoi .
HERNAND.
Mon maitre, tlé gálánt, dont vous touroez
la
ttlte ,
Sans -vous
en
avertir, vous ptépáte
une
fete.
SANC:HETTE,
Quoi , tous ces violons
!....
HERNAND.
Sont tous pour vous.
SAÑCHETTE.
Poul· moi !