é
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j
$.ehtoient ;
comme
eux ' des
nations;
qu?ils
auroient,
comnie
elix, des vengeurs; et
qu'
~n.,.,;
fin
la capitale
efoit
responsable
a
toutes
les
provinces du dépot
qu'elle
lüi
avóit
confié.
M. Miraheau_
le jeune demande
un
nouveali
décret d'inviolabilité;
pare~ ·
que;
disoit\~
il
~
le
pretriier assure
.la
Fberté
d.es~pinions
,
et
qt~e
ce n'
est pas ,poür leurs opi_nions,
mais
paur
l~urs
figures, que nos collegues sont at.;¡¡
laqués.
M.
t
abhé Cibett
vbuhit
que ¡ si on
ne
<léela~
'roit:'
pas les
d~putés inviolabl~s' ,
on
leur
don.!
nat
a1i
n~oins
urie
marque extérieure
qui
les
fü
reconno!tre et respecterJ
. M.
MiRABEAU¡.
'' le
répondrai
al.1
pi·em:ier bpinant,
que
je
' ne
savois
point
enéore
qu'il
y
eút dafis cette
assemblée, dés .
anibass·adeuts
de
Dourdan,
de~ ,
ámbassadeurs dü pays de Gex, efr.
J;ajouterai
que ce riouveau droit des gens me
paroit
tres•
propre
~
camer de
fonest~s
divisions
'
1
et
que
~'
.
,
.
" .
- '.
.
.
.
.
.;
J
a11,ne
m1eux
cr.on:e que nous n_e .
sommes
1cJ
·que .les
repr6sentans
d~
la
natíon
fran~oise,
et; ,
11on pas
des
nations
de la .
France.
Messieuts
~
persoilrie n'
est
inviolable pour les brigands.
~;
'( Je
dirai au second ofateür ,
qüe
je
il<t~ -.
T
rm;e
lló
S
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