P LMONÉ .
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iscéral ;
il est aplati et d' une structure radi ée
( fig. 1 , 2,
o) .
De sa partie centrale part
l'
oviducte
replié en zigzags, dans la plus grande partie de son
trajet' et aboutissant a un utérus situé au fond de la
a ité respiratoire ( fig.
2
et
6,
d,
m
).
Cet utéru ,
· forrnant une masse globuleuse par ses circonvolutions,
donne dans une sorte de vagin tres-long, qui se voit
sous la paroi inférieure de la cavité respiratoire, et qui
vi
nt
se terrniner en avant, sous le bord libre du man–
teau'
a
l'endroit que nous avons déja indiqué (fi g.
1,
2, 6,
d',
o');
ce canal r e<;:oit,
a
son origine, celui d ' un e.
ésicule copulatrice allongée ( fig.
2,
x),
et, un peu
plu en avant, deux autres petites ésicules
a
plusieurs
lobes et comme multifides ( fi g.
1, 2, 6,
y).
La erge est un loug tube que l'on voit aussi ram–
p r ous la paroi inférieure de la cavité respir atoire
( fi g.
1 , 2, 6,
v),
et qui se renfle un peu a son ex tré–
mité postérieure, sur laquelle vient s'insérer son muscle
rétract ur ( fig.
6,
m
).
et organe nous a paru tout
a
fait isol é
t
ans conne ·ions a ec le reste de J'ap–
pareil ; nous avons indiqué plus haut son orífice
( fi g. 2'
¡} ) ,
ou n'a ons trouvé aucun autre organe
qui
puis ·e
' tre regardé commele te ti ule ; d'apres cela, l'organ
pos t 'rieur, que nou a ons d 'signé comm
l'
o aire,
s rait un organe hermaphrodite anal ogue
a
celui des
lima e et des h élices (1).
_
(1) Ml\1. Quo et Gaimard nous parai sent avofr pri pour le
le
li ul e, dans
1
A . Mid;r:,
une portion de
la matrice .