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PULMO ÉS.
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fications vasculaires tres-fines, aboutissant
a
une grosse
veine qui longe
l'
organe dépurateur ( fig. 1 ) ; mais la
cavité respiratoire présente, en avant, une poche co-
. nique, qui occupe la partie antérie1.1:re du dernier tour
de la coquille, et dont les parois, recouvertes d'un
· réseau vasculaire tres-serré , nous semblent etre le
siége principal de la respiration dans ces mollusques
( fi g.
1, 2,
p,
et fig. 3).
_
La position du creur vient tout
a
fait
a
l'appui de la
<létermination que nous venons de
donner~
En effet,
cet organe n'est plus situé au fond de la· cavité respi–
ratoire' comme dans les mollusques pulmonés,
a
co–
quille turbinée; mais il se trouve
a
la base de la poche
dont uous venons de parler ( fig. 1, 2, 3, e). Deux
troncs veineux viennent se jeter dans
l'
oreillette :
l'un, qui longe
1'
organe dépurateur et auquel viennent
aboutir, comme nous l'avons <lit, quelques ramifica–
tions asculaires tres-fines qui se voient au plafond de
la cavité respiratoire ( fig.
·1 et 3,
q);
l'autre, qúi
rapporte toul le sang de la poche pulmonaire (fig. 3).
Le ventricule donne naissance
a
une aorte qui se
divise bientot en deux troncs dont la distribution est
tout
a
fait analogue
a
celle qui existe dans la pluparl
des gastéropodes ( fig. 2,
e,
et fig. 3,
r
).
Les·vaisseaux
artériels qui se rendent dans le foie, forment un réseau
lres-riche
a
la surface de cet organe ( fig . 1 ) .
L'appareil digestif offre beaucoup d 'analogie avec
celui de l'A.
Midre,
d'apres la de cription qu'en ont
donnée MM. Quoy et Gaimard. La bouche est située
a
l'e ·trémité du mufle et a la forme d' une fenle qui se