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'lOLLUSQUES.
ques :
l es Ptéropodes,
dit-il,
nagent comm.e les Cé–
phalopocles clans les eaux de la mer, mais ne peuvent
s'y .fixer ni
y
ramper,
f
aute de piecls
;
leurs organes clu
mou11ement .ne consistent qu'en nageoires placées,
comme des ailes, aux deux cótés de la bouche: ils sont
tous hermaphrodites
(1) . Cuvier circonseri it ainsi le
groupe des Ptéropodes, comme _l'avait déja fait La–
marck, et, a son exemple, il en repoussa la plupart
des genr es que Péron et Lesueur avaient propos'
d' y
introduire, n ' admettant également
qu~
les Cléodores
et les C mbulies
~
auxquelles il ajouta le genre Lima–
cine qu 'il établit pour une espece linnéenne du genre
Clio. Il di isa aussi les Ptéropodes en d ux sections,
d'apres la d isposition de la tete , cara tere qui peut
er ir en effet, omme nou le erron plus tard, a
une di i ion naturelle de ces Mollu qu s; et
i
le
geure ne furent pa Tépartis con enablem nt dan
ces ections, on doit urtou t l' attrib uer
a
la connais-
an e fort incomplete que
l'
on a ait de la plupart de
ce animaux
a
cette époque. L'on ne doit pa 'éton–
ner, par exemple, que Cu ier ai t éparé le H ale
de Cléodores, pour placer elle -ci
a
coté d Pneu–
moderme et de Clio , pui que le genre léodore n'é–
t ait encore onnu que par la figure fort inexa te qu
Brown en a ait donn 'e .
Lamar k, dan on
Histoire naturelle des animaux
.rans 'ertebres
en 1 19, n e h angea ríen
a
l' rdr
de Ptéropode , tel qu 'il l'a ait ' tabli;
il
y
ajouta
(1)
oircetouvrage t.
Il,
p.
378 .