PTÉROPODES.
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. ::idhere d'une maniere assez intime a la face interne
du manteau. L'oreillette, située asa partie postérieure,
esl grande,
a
parois minces et laissant voir seulement
par transparence quelques fibres musculaires diverse–
ment entre-croisées; elle se continue en arrier.e avec
deu vaisseaux volumineux qui rapportent le sai:ig des
-branchies (pi. 15, fig. 43,
q).
Le ventricule, qui lui
est contigu en avant, a ses parois beaucoup plus
épaisses et un aspect pyriforme ( fi g..
29,
43, .e ).
L'aorte, qui nait de sa partie antérieure, continue
a
se porter dans la meme direction, et se divise bientót
en deux troncs principaux ; l'un qui se jette immédia–
tement dans la masse viscérale,
l'
autre qui va se dis–
tribuer surtout a la tete et aux nageoires ( fig. 29,
4.3,
re) . Nous n'avons pas trouvé, sur le trajet de ce
vaisseau, le renflement en forme de bulbe qui a été
figuré par M. Van Beneden.
Organes de la génération.
-
La disposition gene–
rale de cet appareil est comme dans les autres Ptéro–
podes, c'est-a-dire que les deux sexes son t réunis et
que la erge se trouve tout a fait isolée a la partie an–
t
'rieure de
l'
animal.
L' organe que nous regardons comme réunissant les
fonction de l'o aire et du testicule, forme une masse
assez considérable, d'apparence granuleuse, qui oc–
c 1pe le fond de la cavité iscérale et qui est di isé en
fobe bien distincts par des scissures profondes. on
anal x réteur, qui nait d 'une de ces scissures, est
d 'ab rcl tr ' -grele; mai il se renfle bient ót , comme