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iOLL
QUE .
canal ou bo au qui fait suite
a
l'oviducte et dont le
circonvolutions sont meme tres-apparentes
a
sa sur–
face.
Apres avoir formé la masse gl buleuse dont nous
venon de parler, ce econd oviducte s'en isole en
avant et se dirige dans ce sen , du coté droit, pour ve–
nir s'ouvrir au bord postérieur et
a
!'origine de la na–
geoire corr spondante (fig. 3, 5,, 29, 30 , 31,
o').
Cet
orifice a ét ' bien indiqué par M. de 131ainville, etc'est
a
tort que M.
an Beneden le fait terminer pres de
l'ouverture de la verge; cet anatomi Le a 'té induit en
erreur, sans doute, par un repli de la peau qui
e
porte, en effet, de l'une
a
l'autre de ce deux ouver–
tures, el qui forme, en dessus et
a
la base de la nageoire
droite, un sillon tout
a
fait analogue
a
elui qui joint
le memes orífices dan
l
Apl
ie , l s Bulle , le
Bullées, etc.; M. Cantraine a commis une erreur plu
grande encore, relal'ivement a l'orifice dont nous par–
lons, en le pla ,ant
a
l'extr ' mité du fourreau qui,
comme nous l'avon déja vu, ert de gaine au tenta–
cule droit.
La partie ant 'rieure de la rnatrice, qui
'étend de la
masse globuleuse formée par cet organe
a
on orific
ext ' rieur, et que l'on pourrait désigner ou
le nom
de vagin, r e9oit le canal long et grele d'une petite vé i–
cule qui nous parait etre l'analogue de c lle que l'on
trouve chez les
a téropode h ermaphrodit
et que
l'
on d 'signe sous le noms de
vésicule de la pourpre
ou
de
vésicule copulatrice.
ette vésicule e t plus ou moin
libre
t
facile a re onnai tre dan
certaine
e peces