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VOYAGE
fi cienLde Lempéralu re daos ces stali ons, valeur que
nous n'avons pas les moyens de déterminer pour
ch::i cune d'ell es , ainsi que nous l'avons dit plus
haut; mais ce mode de calen] supposerait qu e le coef–
fi cient de température, tel qn e nous l'avons défini ,
es t le meme pou
I'
toutes les stati ons; c'es t ce qu e ne
peuve nt pas laisser supposer les résultatsde nos obser–
va ti ons daos les dive rses localités ou les circonstances
nous ont permis d'étudier la qu estion sous ce po int
de vu e.
No us donnons plus loin les différentes \:al eurs de
e
que nous avons trou vées : nous les avons calcul ées,
en fai saot concourir au cal cul toutes les obse rva ti ons;
mais ces derni eres onl été combinées de mani ere
a
ne comparer entreeux, pour en déduire des moyenn es,
qu e des groupes d'observa ti ons faites
a
des heures
co rrespondantes de la journée.
Ainsi, pou1· prendre un exemple, les obse rva tions
de Macao ont été réuni es en trois groupes : le pre–
mi er , formé des sé ries
I
a
8 et de Ja séri e
I I
,
ob–
servées , les Lrois premieres le g janvier
1
837 de
1
oh
a
1 1
h
3omdu malin ) les cinq
ui vantes) le len–
demain aux memes instant s de la joura ée, et la on–
zieme, le [
2
janvier de
9b
45m
a
J
J
h
du malin , a donné
pour la valeur de
e,
0,000912 de 7º,9
a
9º,9 du ther–
momelre ceoLigracl e.
Le deuxieme groupe était fo rmé des séri es
16
a
19,
observées le
1
5 janvier de 3"
a
4"
3om ; des sé ri es
23
a
25,
obse rvées le
17'
de
3"
a
4" J.5m;
et enfin de
séri es
26
tl
28,
ob · r ées le
18
de
2"
l1
3"
15"'.
La va-