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Ü!S!!AUX
l
1
EU CONNUS.
VOYAGE
des autres ' et treºs-difficiles
a
prendre ' parce qu'ils
mordoient comme des Chiens; et on les appeloit
Mar-
gaux
» ..
ce
A ces traits, dit BUFFON, nous prendrions volon–
t iers le
Margau
pour le
N igaud,
le
Shag
des Anglais "·
Tous les Marins franirais connoisseht les
Margaux
de l'ile d'ÜUESSANT.
XIII. Le BACJ{ ER [ ou
B ecqueteur
J
des habitans des
!les d'ÜLAND et de GoTTLAND dans la NlER BAL–
TIQUE, d'apreHles particularités qu'on nous ªP.Prend
d e son in stinct, parolt etre une
Hirondelle de
Mer.
Si quelqu'un va dans l'endroit oú ces oiseanx ont leurs
uids, il s luí volent autour de la tete et semblen t vonloir
Je becqueter ou Je mordrc; ils jectent, en meme temps'
n cri
tirr,
t~r,
sans cesse répété. L e_
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e\.n meme le plus fort
ue p ut l'empecher de se tenir immobile en l'ai r; et,
quand
il
a miré sa proie , il tombe plus vite qu'un
trait, et accélere ou ralentit son mouvement, sefon la
profondeur
a
laciuelle
il
voit Je poisson dans l'eau ;
quelquefois il n'y enfonce que le be,c; quelquefois aussi
il
s'y plonge si avant que l'on ne voit
plus
au-dess us
de l'eau que la pointe de ses ailes et une partie de sa
queue. Il a le plumage gris; tout.e la moitié supérieurc
de la tete d'un noir de .poix ; le bec et les pieds cou leur
de feu ; la quene semblable
a
celle de I'
Hirondelle :
· plumé, il o'es t guere plus gros qu' une
Gro1e.
X1V .
Le V.ouROUSAMBÉ de MADAGASCAR (le