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E M A R C H A N
D.
12 7.
n'ont encore que le duvet, car alors la Mere les voicure
179
1,
sur son dos. Ces deux E speces n'ont point les pieds
Avril.
palmés
a
la
fa~on
des autres oiseaux d'eau; leurs doigts
1 •
séparés sont garnis ou bordés, chacun, d'une membran e
P!.ONGEONS.
tres-forre : en cet état, chaque doigt ressemble d'autant
PI
d
ongeons
es
plu:;
it
un e feuillc' arrondie du coté de l'ongle' qu'il
t>lalouines.
part du doígt' des lignes qui vont se terminer
a
la cir-
confércnce de l'a
inembrane, et que le tout est d'un
vert de
feuille ,
sans avo1r beaucoup plus d'épai s-
seur
1
».
D.
PERNETTY dit que les
Plongeons
des iles MA–
LOUINES sont
llJ1
excellent manger •.
fois, LE So
des autres E pece
qúi habítcnt
1
~-~-
quí a
été
it
des
On
prenoit fréquemment des uns et des autres avec
une
ligne de peche.
Le Vaisseau s'éleva jusqu'a envíron 60 dcgrés de
Latitude Sud, douQla le Cap de HoRN, et retrouva
dans le GRAND-ÜCÉAN AUSTRAL" les memes EspeEes
d'oiseaux qu'on avoit vues dans l
'OcÉAN-ATLANTIQ.UEM ÉRIDIONAL; et, vers le milieu d'Avril, par 5 8 degrés
de Latitude, il s'y étoit joint des Couri::uRs-n'EAU.
'
Vo;•agr autour tlu Mo11tÍt ,
page
67
de l'Édic.
/11-4.
0
•
Vo.yage aux ílts !i1alouinrs.
Tome
JI ,
pngc
23.
,¡.
1
i·