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DE MARCHAND.
39r
beau noir, marqu é de raies .blanchatres : cette marbrure
res semble aux veines du bois ; et . dans ces tra,its les plus
épais, comme dan s les plus minces , passent d'autres
veines d'un blanc sale. Ce méla!'lge produit un coup–
d' reil agréable , prjncipalement lorsque le dos
~s t
éclairé
par les rayons du soleil : alors les divers es ondulations
de bl anc et di;:
jaun_e brillent d 'un écl at semblable
a
Gelui de !' argent. Le dessous du corps et de la machoire
ínf~rieure
est d ' une blanch¡;ur éclatante. Toutes ces
.
Suivant le rapport unanime ,des P echeurs au
GRÜEN-
LAND,
les
Baleines
se dressent perpendiculairement pour
s'a.ccoupler ; ,le M aJe et la,f'.eme!le, dans cette
~ituation,
s'approchent l'un de l'autre; ils ·s'embrassent avec Ieurs
nageoires , et restent accouplés pendant une demi-heure
ou un e hem e.
,D
~
D LE Y
prétend que la FemeHe se
re nvers e sur le dos et replie sa queue, et que le M ale
..,
,
.;
I
se pose sur elle- et l'embrasse avec ses nageoi res
'
Philosophícal Transactions.
N
·º
387,
art,
2.
Bb 4
1
79
r.
Mar
s.
BALEINES.
La lhleine
de Groen land,