369 / 524
D E M A R C H A N D.
de l'aile , dont les upes sont
t~rminé e s
de bianc, le?
autres de noir; le reste du plumage est blanc: la paupiere
est bordée de rouge ou de jaune ; le
be~
est de cette
derniere couleur , avec l'angle inférieur fort saillant et
d ' un rouge vif, ce qui lui donne l'apparence d'avoir
une cerise au bec '.
,, C'est le meme oiseau que le grand
Goéland
des
cotes d'ANGLETERRE appelé dans ces parages
Herríng-
Gull
[
Goéland des Harengs
,~u
Pecheur de Harengs]:
dans les Mers au NoRú' ces oiseaux vivent des cadavres
des grands poissons '"
On pourroit rapporter
a
cette Espece un oiseau des
cotes du CHILY .et du PÉRQU' dont le
P.
FEUILLÉE
nous a donné la Description, et qui, par sa figure, ses
couleurs et sa voracité' r@ssembl e
a
ce
Goéland
du N oRD:
guemestre,
qui
¡
taches noiratres ,
t andis que les re
sont qn'un peu
~2s~g:;:ro:::s q~ue
ce-u
Slxieme Espece. Le 6oh.AND
A.
MANTEAU GRIS
ET BLANC' nommé par BRISSON' la MouETTE GRISE.
'
L'Encyclop!die méthodiqut
donne la D escription suivante
du
Goéland
a
manuau gris-brun :
" 11 approc ht:. de la grandeur du
Goéland
á
ma11teau noir
( I
.re
Espece, ci-devant pag. 344); .sa longueur est de vingt- un
p ouces et demi : le dessus du cor{>-' est couvcrt d 'un
mante~u
gris.brun; les pennes des ai les sont de la meme couleur' la
plupart terminées de blanc; tou t le reste du plumage est blanc:
!'iris, .les paupieres et le bec sont jaunes; la partie anguleuse du
bec est d'un rouge vif : les pieds so rtt jaunatres dans quelqnes
individus, d'une coulcur de chair pale dans d'aurres "·
4.
z
G OÉLANDS.
Le
Bourguemestre,
Le
Mante.iugri~
·
blanc.