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r.
Mars.
1
3·
GOÉLANDó,
Le Grisard,
Le
Dourguemestre.
3P.
VOYAGE
qu'il s'inquiete peu ·des orages en n1er : il est d 'ai ll eur5
bien garni de plumes qui paroissent faire la plus grand
partie du vol ume de son corps; et, en général ,
il
est
tres-maigre.
ce
11 paroit' dit
EUFFON'
que ron doit admettre
dans l'Espece du
GrisardJ
une Race ou Variété plus
grande que I'Espece commune, et dont le
plu~age
est
plutot ondé que tacheté ou rayé : cette Variété se ren–
contre sur le Golfe de
BOTHNllE.
(
dans la Mer
BAL–
TIQUE);
et certains individus ont jusqu'a huit et dix
pouces de plus dans leurs principales dimensions, que
nos
Grism·ds
commun s "·
Cinqui~me
fapece. Le
GoÉLAND
A.
MANTEAU GRIS–
BRUN
ou le
BouRGUEMESTRE,
nommé par l'Ornitho–
Iogiste
BRISSON,
le
GoÉLAND GRIS '.
Hollandafrs
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s·gnrfk
nfs
ou in itati
,
t ils ont appelé celui-ci
Burg/1e m
t
r
[Bourguemestre] ,
a
cause de sa démarche
grave et de sa grande taille, qui le Ieu r ont fait regardcr
comme le Magistrat qui se.rnble présider avec autoricé
au milieu de ces peuplades turbulentes et voraces.
,.,, Ce
Goéland Bourguemestre
est , en effet, de la
premiere grandeur, et au ssi gros que le
Goéland Noir–
Manteau;
il a le dos gris-brun • arnsr que les pennes
' En
Suédois ,
JV!aos;
en Anglais ,
H trring
-
Gull;
en
1-lollandais,
Burghermester :
il parolt que c'est aussi le
f(iyAie
des N orwégiens , le
SAitrro.
des Lapons , et Je
TattaroA
des
Groenlandais.
de