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r.
• Janvier.
26.
HlllONOELLES
DE MER.
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»
Les píeds de I'
Hirondelle de Mer
ni'! dilferent de
ceux de l'
H irondelle de T erre,
qu'en ce qu'ils sont
a
demi palmés; car ils sont de . rueme tres-courts, tres–
petits et presque inutiles pour la marche : les ongles
poincus q ui arment les doigts ne paroissent pas pl us
nécess aires
a
l'
H ironde!le de M er
qu'a celle de
Terre,
pu isque toutes deux saisissent également leur proie avec
le
bec. C elui des
Hi:-ondelles de Mer
est droi t, effi lé
·en pointe' lisse' sans dcntelures, et aplati par les cotés.
L es ai les sont .si longues que l'oiseau en repos paroit
en erre embarrassé' et que' dans l'air'
¡¡
semble ctre
tout ailes. Nlais si cette grande puissance de ' vol fait de
I'
HirondelLe de Mer
un oiseau aéri en, elle se présenrc
comme un oiseau d'eau par ses autres attributs; car,
indé endamment , de la membrane échancrée entre les
doigts, elle a, c .m 11e
res ue tous ks oiseaux aqua-
f~u
p
't
portion,
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Jan i,e--.dfo'Uée de plumcs,
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le c:orps
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u ni et tres-serré.
•
~~;~a§n~1ille
des
irondelu s de M er
est
co~1 -
f,
·
urs Esp
es
onr la ph1part ont franchi
Ie, ÜCÉ.¡\NS
peuplé leurs r1 vages : on les trouve depuis
les Mers, les Lacs et les ilivieres du N?RD
jusque
dans
les vastes pl ages de l'ÜCÉAN AUSTRAL, et on
les. renconq.e dans presque toutes les Région s intermé–
diaires. "
Le capitai ne CooK trou va des
Hirondelles de Mer
aux approches des
iles LASº MARQUESAS DE MEN–
Dü<;:A ' :
il se vit accÓmpagné par ces oiseaux, dans·
son second Voyage , depuis le Cap de Bo NE-ESPÉ–
RANCE·, jusqu'au dela du quarantieme-unieme d gré de
'
G. Forster's
V".yage.
Vol. U, pag.
5-·