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D E
M A R C
H
A N
D.
r
1.5
oft'tertt des fkilités pour faire let1rs nichées, qu'ils ont
179
1,
formé leurs principaux établissemens : il s
y
habitent par
Janvler.
milliers. ·
:2:1..
Un
Navigateur
fran~ais;
QuERHOENT,
a
vu dans .
Fou!.
l'ÜCÉAN
ATLANTIQUE,
a
1
o
deg .
36
min. de latitude
Nord,
de~
Fous communs
a
tete noire.
.
Deuxierne Espece. L e Fou BLANC
1
•
Le Fou blano:.
ce
Nous venons de remarquer beaucoup de diversité
du hlanc at1 brun dan s. l'J;'.spece précédt"nte; cependant
il
ne nous paroh pas que l'on puisse
y
rapporter celle-ci,
d 'au tant plus que DUTERTRE
2
,
qui a vu ces d(rnx
oiseaux vivans, les distingue !'un de l'autre. lis sont,
en effet, différens , pu is que !'un a blaric ce que l'autre
a
brun ; savoir , le dos , le cou
et la
tete , et que
d 'ailleurs celuj - ci est un peu plus grand : il n'a de
hrun que les pe nes de l'ail
e
p,a
tures. De
pllus ,
~
perche guere
l
faire prendre
' " 11
est
un
peu plus gtand qne le
Fou commun :
sa fongueur
est de deux pieds sept
po~ces
; if a cinq pieds deuk pouces
de vol : tout le plumage est bl anc , excepté les couvertures
~u
dessus des ail es, les plus éloig11ées du corps , et les pennes,
qui sont brurre.s
:
la pe:iu, dégarnie de plnmes entre
l '~i l
et
le bec , est d'un rouge
fort
vif; 'le bec , les doigts, la mem–
brane qui les unit, sont aussi colorés en rouge , et les ongles
sont rougeatres.
Le
Fou blanc se
trouve, ainsi que le
Fou
commun,
dans les régions chaudes ou tempérées des deux ·
Contincns; mais il est moins commun " •
(
E11cycl.
Mirhod.
et
Dicr. d'Hisr. Nar.)
2
Hist.
gin.
dts Amillrs,
Tom.·
11,
pagc "7 5•
H~