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.1-01.B

~.

NATAL. ALEX ANDRi EP ISTOL ..f:

., Jem

de

valore

Sacram~ti, reli~a

tutiore.• - .• Hinc.

feotcntia

probabíli

tan~

tt

rum u_ce

ndum

non eft

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collmone.

Baptifmt,

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Sa erdo

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E.pi

~,

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1s.

Q.ua

:

P,ropofiuo ,

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&.

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& M

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praxi

perni

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uci talis

damnati •

'

CINQUIEME LETTRE

d'un Theologien ·

A

U

X

RR.

PP..

J

E SU I T E

S..

J'ur la

Grare.

Mr:s

RR. PERE5,

Les

~

a vans

jugeronc que je n.,ai pas eu

grand

tort

d,avancer,

que les

opi~

s1ions de

v.os

Aureurs

&

de vos Theologiens fur l.i Grace rerombent dans les

crreurs d

es D

emipelagiens, quand ils examineront celles de Louis Molina

Je–

fuite Efpagnol , <le qui vom;

avez he

riré le nom

de

Molinilles , cornme les

Dom~ni'4ins

ont heriré

de S.

Thom.as

d.ont

ils fuivenc

la dofüine , celui de

Thomifies • 11 eü: necelfaire q

ue je fa

lle un

expo(é

<les íemimcns de Molina

t

ur la Grace,

&

que J'examine

fi

vous les avez foutenus,

&

fi

vous les fou–

tenez ,

af1n

de

vous

ren<lre

juílice fur

le

Demipelagianifme done

on

accufe

depuis

long-tems

vos

Theofogiens,

&

dont

ils

demeurent convaincu5 par

des

pré jugés tres coníiderables.

,, I.

Molina foutient

(a)

que

l'homme

par fes forces natureltes

~vec

te

feul

,, concours general de Dieu , peut croire par un

aae

puremenc naturel les

,, miíleres furnaturels qui lui font propofés

&

expliqués ( tels que fonc la

Tri–

~,

nité des Períonnes ,

Ja

Di vi

ni

de

]

efus-Chriíl: ,

&

d'autres femblables )

~,

cornme

écanc

revetés d.e D ieu.

(b)

En

ce

cas

la,

Dieu par une

Joy

cercainc

,,, qu

il

a établie avec fon

F1ls,

donneroic

a

cet

homme

Ja

grace

&

les fecours

.,, neceílaires pout· croire comme il faut , afin d'arriver au folut ecernel.

" 2.

(e) Que

les

hommes qui ne font pas

enrnre

arri vés

a

la

d1

gniré d'en–

.,, fa n

de

Dieu , ont

telleme nt

le pouvoir de le devenir , que

~'1ls

font

rou1

.,, l urs

fforrs par

leurs

forces naturel l

s

p.our embraíler

la

Foi , ou ' pour fe

,., rnpenri r de leurs pechés , Dieu leur do n ra les fecours

&

Ja gr:ice pr ' ve–

,, nJnre ,

afi n que ces Jéfes fo i·ent tcls qu' tl s doivent ecre pour

Je

fal ur .

,, 3. (d)

Que

c.omme Dieu n

rcfufc point

fa

grace

a

ceux qui

fi

nr

I

·ur

, , l offible, nous pouvons nous d ifpoG r

a

l.a grace plr des efforrs nawrel

., 1

ot\

il

fuir

qH.e

quan<l

le

pecheur

~'

fforce d'a

voir

de la

<louleur

de .

e-

.,, chés,

&

qu'al forn

ll

re fo lution

de

les évic er

:i

}'avenir par le

mot i d' un

.,, crainre

purement natureHe ,

üieu

lui

infpi re

une

crainrc

urnarurelle '·

&

il

.,

ü

un aéf

furnatur

d

Jttriticn tel qu'al

cll necelfaire

pour la

re

iffion

,, des pechés .

.

, 1

4. ( )

ue la vocation in erien re de l'in fid ie

a

Ja

Fo1 ,

I' _nr

, du hd.ele ·' Ll P ni rene.e p:il.r fa GrJce pr

' vena ote ;

le&

lum1cr

(2)

c.)

)

011ror1J. qur./l. 11.

llft.

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