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U N

r.·

U NI

Un reC.e: de

fanacifni~ fubf¡~a

feolement daos

une

par·

re .

m~rri~

·titulaire

1

mais que te moins coolidéra·

perite pj!rct.e du

peupl~. d~

Parts, fur le tombeau du

ble .ell: re•.•du

d.épe~dant

de l'aurre ;

auquel e as

fe

t~

diacre Pdrts,

&

les . ¡efuttes

eu.x-m~mes

femblerent

tulatre doJt delfervtr en perfonne le princip.al béné-

entrainés daos

la

c~ute

du janfénifme. Leurs a11mes

Ji

ce,

&

commettre pour l'autre un v.icaire; s'il ell

emouaées n'ayant plus d'ad.,erfaires

a

comba

ter~.

'ils

ehar~é

de qiJelque fervice p.erfonnel o u .de la con..

perdireot

a

la cour le .ccédit dont le 'Fellier avoit

duite des ames,

...J

a

bufé. Les

év~ques

fur lefquels ils aYoienc dominé,

· La

troi~eme ·~ll

'lorfque

l.es

deux ritres font telle-.

les coofondiren.c avec les a(Jtres religieux; & ceux..

meot uois, qu'il

n!y

en

a plus

qu'un, foir au moyeo

ci ayant éré abaiílés par eux, les rahaiílerent

a

leur

de l'extiHélion d'uo des fitr.es,

&

r.éunion des reve,.

tour. Les parlemens leur firenr· fentir plus d'Ufle fois

nus

a

l'aurre' foit par l'incorp0ration des deu'x ti tres :

ce qu'ils peofo ient d'eux' en· coodamnant quelques-

Les

msionr

perfoonE'lles

E>

U - ~

vi e o u

~

tems'

oe

u

os

de leurs écrirs qu1on aurqit pu oubMer. L'univer-

f.ont pas admi(es en france, n'ayant po,ur but que

firé

qui cor.nmen<;oit alors

a

faire de bonnes érudes

l' utilité de l'impétrant' & non j;elle de l'églife.

·,

<ta os la littérarure,

&

a

donner une exce ll ente

édu~

L es papes ont prétendu

~rre

en droit de procéder

cation, leur enleva une grande parti e de la jeunelle;

feul s

i\

l'tmion

des archevt!chés

&

~v~chés.

,

& ils atrendirent pour reprendre leur afcenilant, que

D e leur c6ré les empereurs g recs prétl!ndoient

le

~ms

leur, fournit des hoq11nes de génie, & des

avoir le ols droit d

1

unir ou

di vií~r

les

:trchev~chés

ou

conJonétures favorables.

c!vckhé~ ,

en divifant

les provinces diQ rient .

.

11

ferc1it

c·n~s~úrile

a

c.eux qui fonr ·enté!tés de tou-

L'égliíe

gallica.ne

a pris

la-d~ fius

un fage tempéra-

tes ces

diípute~,

de jetter les yeux for l'hilloire gé-

menr, aya nt toUJOUrs reconnu depuis

l'établilfemen~

nérale· du monCie; car en obfervánt tant de nations,

de

'la

monarchie' s:¡ue

l'unio

0

de plqfieurs

archev~-

tan~

de ma::urs, tllnt de religions différentes, on .voir

ehés

o~ éy~chés

ne peut

~tre

faite que par le

pa~

le peu de figure .que font fur la terre un molinille &

pe; mat$ que

ce

ne peut

~tre

que d!l coníentement

un

janfénill~.

On rougit alors de fa

frénéfi~

pour un

du ·roi.

·

·

parti qui fe perd daos la foule

&

dans l'immenlité

Le légat m!me,

a

la:tre

ne la peut faire,

a

moins

des choíes. (

D.

J .

)

'

qu'il n'en ait re<;u le pouvoir pár fes facultés d!lemelit

U~ION,

fONCTION, ( Sinonyme.)

1'

m~io1t.

re-

enregillrées.

·

,

garde particulieremé·nt deux

· différe•ite~

d¡otes, qui

L'union des autres

hén~fices

peur

~tre

f-aite par

l'é~"

te trouvent bien enfemble. La

jonflio11

regarde ' pro-

v~que

diocéfaio, en fe conformant aux canons

&

aux

prement deu.x . cho.fe5 éloignées, qui fe •rapprochenF

ordonnarices. ·

l'une de l'autre. ·

· Mais

li

l'union, fe faiíoit

a

la manfe épiícopale,

il

· · Le mot

d'tinion

renferme une idée d'accord oo de

faudroit s'adreffer au pape, qui npmmeroit des

com~

convenance. Celui de

jonfliotz

femble fuppofét; une

miílaires for lieux,

l'év~q:.~e

.ne .pouvaot err.e juge

marque ou 'quelque mouvemerlt.

.

daos fa .pr.opre caufe,

•.

.

On

dit

l'tmiou

des couleurs,

·&

la

i onflion

des ar•

Aucun aocre fupérteur eccléíiallique ne peut untr

mées;

l'union

de {leux yoilins ,

&

la

jonfliolf

de deux

des bénéfices; quand

·il

en feroit le coHareur,

&

qu'il

rivieres.

·

auroit jurifdiélion fur un certain territolre,

.

.ce qui n' ell p:¡s

ut;i

ell: diviÍé, ce

q~i

p'eíl

p~li

C'eft uq uíage

imm~rnorial

que les bénéfices

d~

;omt

etl féparé.

,

collation royal

e

p~ ovent

c!tre unís par le roi feul en

··

· On

s'tmit.

pour former des corps de fociéré. On

v.ertu de leures-patenres regillrées en parlement.

fe

j.oint.

·pour

' fe~ralfell)ble.r,

&

n '~rre

pas feuls ·'

··

· Toute

union.

en

génén;~l

ne peuf .erre faite fans

n~-

Uniol

l s'emp

loie fouvent au

fi~uré

en vers

&

en

ceffité ou urilité évidente pour l'égliíe.

.

proíe ;.

mais.on

ne fe fen de

jonflion

que dans le

fen~

11

faur auffi

y.

appeller tous ceux qui

y

ooc ,intéret

~

litréral.

- ·

· · ·

·

tels que les cqllateurs, parrons eacléfialliqu¡;s

&

lai'cs ..

· ·

Vmtion

íoutient les

famille~,

& fait la

puifian.ce

les ticulaires

~ ~

les habitans, s'il s'ag\r, de

l'tmioq

;~es

érats. La

jonfl.ion

des .ruilfeaux forme les grands

d'.une cure.

·

.

tleuves . . G!rard,

fjnon. Frun; ois.

(

D.

J.)

Si le collateur ell .chef d'un chapitre, comme un

· ' UN

ION

cHdT.I~NNE,

(

Hijl.

rccleji'tl(/iqcu,

oom·

~v~que

o.u

1111

abbé;

il

faut

~uffi

le

conf~ntement d~

anunaücé de veúves

&

de filies, projerrée p_ar madame

cbapi.rre.

.

~e

Polailloo,

inflitu~!;'ice

des tilles de la pro.viden-

··

Quaud les collateurs ou patron.s .refulent de con.-

ce,

&

e.x¿ourée ·par.

M.

Vachet,

pr~rre

, de

Ro-

fentir

a

l'union, il faut obten ir un ,jugeme(lt qui l'or.,

mans en. D.aupbioé, fecoodé d'une freur Renée de

donne avec eux:

a

Pégard du tituláire

&

des habi'l

,q'orde', qui avoio fait l'érablifiemrnt des filies de la

taos,

il

n~efl

pas befoin de jugemenr; les canons

~

v.ropagation de La

foi

a

Merz, d'•une

íre.ur

Anne

les urdonnances

ne

requierant pas leor coníentement.;

9c Croze , qui avejt une maiíon

a

C

h

aro,nne,

ol)

on ne les appelle que p.our_ entendre ce q.ulils auroient

la communaoté de ·

\'tmion thrétiennr.

commeo~a,

er;i

a

pr(Jipo.fer oontre

·t•union,

&

l'on y a tel égard que

·J66I.

Le but fingulil\!: d

e ce

tte' a'llociation étoit'

d~

de raifo,n.

.

.

;iravailler

a

la

cooverf\o.u

d.es

tilles

&

fem,mes

héré~t-

Oo ne peut cependant unir un

béné~ce

vacant;

~!les'

a

r,etirer.

de~

ferrtmes pauv.res' qui ne pour-

n'y ayant a lors perfonne pour en íoutenir les droits.

roíent

~rre re~des

ailleurs,

&

a

élever

de

jeunes

. Pour vériñer s'il

~

a néceiTité ou utilicé, on faie

:filies . Le Íéminaire de Charuone fut transféré

a

P.a-

un

e inform

ariort

de

.C011J."iOdo

&

ituommodo'

ce qui

efl

ris en

r6.8.);

elles eurent des conllitutions en

I66u

du

refio.rt de la joriftfiél

ion

~oloqtajre;

mais s'il fur;..

-ces

conll.irutio1.1~

fure,nt

appr

ouvées en

1668.

Ces

v,ien~

des

c.on.rellatiu.ns

qui ne puiílent s' inllruire.

t . le~

ñ'oot de. péJutence

q.u

e éelles de l'églife; fen-

,

fommairement~

o.n

.

r

envoj~

c,cs Í(l(:ideQs. devane l'of-

lemenr elles ieOri,ent le veodredi . Elles tien.oent de

ticiaL~

.

perites écoles. Apre> deus ans d'épreuves, eMes s'en-

Le o

onfe

ntement du roi ell nécelfaire pour

l'unio~.

·

gagent par

le~

cuois vceox ordinaires & pa,r un va:_u

de taus

J.es

bén.é.fices.

~or¡6f\o.~iaux,

des

bén~fic~s

qui

.parriculier

d'unidn..

·

,

tombent en régale

~

&

p.our

l't111jo_n

des bénéñces

aux

· Elles ont u"

v~ce.m.

eot

qui Ieur ell propre.

~drnm,uf!autés lecmlier~s

o.u régulieres,

m~me

pour

. La p.ptite

11nion

eft.

u.rí

autre établiílement fain par

ceux qui

dépenden~

des

abbay~s ~.~xquel!es

on veu,t

le

m~.rne

·

M.

Vach

ét~ ma

demoj(elle de L,amoignon,

~e~

unJt:..

.

,

,&

une. mademoifelle

Ma.U

.et.

H

s'agiUoit. de r.etir-er des

Qn. obtiene au(fr quelq.uefois.,

de5.

lettre

s _pat

ente~

:filies

qui

v.iennent

a.

Pa

rís_.pour íervir'

&

de fonder

pour

l'tmion

des autres l>_énéllces loríqu'ils fo.nt

COO"\

un lieu olÍ les fe

m

mes puífent trouve¡: de fe

m

mes-

fi'dérab.les,

afin de ren dre

l'un{of1..

plus auth.t¡ntique. ·

de·<"hambre

&

des fervantes

oe

bonoes mreurs.

Ce

.Ayaor d'

enregitlr.er.

J.es

let

ires-p¡¡

tentes qui

~on~

projet s'exécura en

1679 .

·

.

cernen,r

l'uni(Jn.,

le

parl<eoter¡t

ord.on,

ne une n,ouvelle..

UNION,

(G.ram.

_&

Jru·ifp.

l.

ftg niñe. en. général la

iníorrr)ation· pár: le j.uge royal.

jonélioti

a•utle.

chof

e

a

une autre , pour ne faire e.n-

O.n

p.erm_e~ q_uelqucfoi~

d'u.ni.r

a.

des cures

.&

pré~

femble q.u'un.

ro.ur

.

~

: hendes féculieres, dont le revenu eft ttop mc,>4ique

~

En mariere b'énéficiale

on

.entend par

m¡iorz

la jon-

l

o.u

a

des..

fén~in!lires,

des bénéfices réguliers, pourv1,1 '

8ion ,de pluG,eu

rs b

.énéfices el)(emble.

·

q.ue

ce íoient

(;l~s

bénéfices fimpJes., & non.'des offi;-

On di/lingue

p.lu{ ie

ur~

forres

d'unions,.

.

'

ce

~

clau.ft.raux, qu.i obligeot les. tit.ula,ires

a.

la reli.-

La

~>,remierer

fe

fa.it

q.u:¡nd les deux égliíes. rell.ent

dence.

rlans le

m~

me état qu' elles éroient, fans a.ucune dé-

On

únit mtnl.e qpelq.uefois

a,

u.n temjnaire

toure~

pendanct•1l'une ·de l'a.U'(re,, queique p.otTédées par' le

les, préb1!ocles d'une collégiale.

,

·

m~rne tit\l'l~ire

.

Mais les cures ne dojvent point erre unies

·a

des.

- La

fecc;n,de, lorfque les dcux bénéfic:es demeurent

•m,onallere~,

n.i. aux, dignirés

&

prébendes des

éO'li'fe~¡

IUifi

dan

~l.e

11J~.me ~~a~, ~ Q.U~

les

fruit~

font

per~US ~thédrales

OU Collégiales, encare

mOÍII$

a

d eS béné'!l

" .

7.t.fl~

t

XVII.

'.

. .

.

·

· '.,

~.ces

fimples •.

' . .

r

~

. . ... '

' l,.'uni~,.,

.

1