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p
ERO Y.
,47
e.n
quelq 1e
fa~on,
tome forte
de
libe1
té ,
ils fom amane
de mal
qu'ils peuvenr, avec des pierres
qu'ils
jettent
forr
adroitement
foit avec
la
main
ou
avec des
frondes.
Les
E
fpagnols,..
{i
redou-
'
s
parmi
eux, ne fonr
poim:
alors
en fureté. Les plus fages fe tien–
nent chez eux , parceque la
for.
de ces fetes eft
toUJours
fatale pour
quelques-tms. On dche continuel–
lement
de
fopprimer ces
folemni–
tés :
&
on leur a depuis peu imer–
dit
l'uf
0
e
du
tbéicre
>
fur lequel
ils avoiem
coucume
e
repréfenter
la
mort
de
leur
lnka.
Le
nombre des habirans de
ce
v~íl:e
Empire , que les hiíl:oriens
contoient
par
millions ) a beaucoup
diminue
depu
is la
conqu Ate qu'e
onr
fait
1
es
E
fpagnols
*.
Les tra–
vaux des mines
y
ont beaucoup·
cwntribué , parriculierement de:
*
B1n-the! mi
dí! lasCafas,
Eveqoe de
Chinpa, .
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b
nouvelle Efpaanc, dir
ci~1e
danc; l'e!r. a-e
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ag11ols om
fait
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uan:e milr ons d lndicns
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