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2.o
DE
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R I P T
z o
monde.
Enfin ils ont
élévé
Ie
mé–
rite de ces donation
.
un
fi
han
dég1é,
qu'il
n'y
a
p
rfonne
qni
n'y
coníl:ime
la
plus
grande
p.
rrie
de
fo
ien,
fans
a
voir égard
a leurs
pareos ,
a
leurs
créanciers ,
ni
au
pauvres ,
entre
les mains
d
fguels
nous devons rarheter nos péchés;
felo
les termes de
l'Ecrimre.
En m mo: ,
que
ce
foit
par
la
crainte
des peines éternelles,
q· ·
efr ce
q
i
ro le
~º
le plus fenGble–
r
·1
,
ou
par
l
amour de
Dieu
ou
de
foi -
m
~ me
, ce ce
coutume
eft
evenue
íi
univerfc
lle
&
a tan
enrichi
les
Commur.
t és Religieu...
fes'
de
L ima
&
de
q
ielques
autreg
Vil
es
a cent
Jieues
a
Ja
ronde,
qu'il
n'y
a
que
trcs-peu
de la'iques
qui
jouiífent de quelques
biens
francc.
Leur
fortune
eíl:
pour
1
plupart
bornée a
ce
qu'ils
peuvent
avoir en mouvance;
&
il
y
en
a
pet
qui ne payent quelque rente
au
Eglifes ,
foit
fur leurs
maifons o
fur
leurs terres