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ERO U.
~T
C]lle
cela les
peut garantir
du
mal
q
1e
le
1r
pourroient faire
ceax qui
admireni:
leur beauté. Ils
fonc
ces
pre[
rvatifs plus grands
pour
les
en
fans.
Cene
foperfiirion eíl: générale
parmi les Dames
&
le vulgaire ;
mais
il
y
en a
une autre prefqu'u–
n
i
verfelle,
&
q
1i
eíl: de
la
dernie–
re
importance
pour
évicer les
pei–
ne de l'autre monde : c'eíl d'¡¡voir
foin de fe pourvoir d'un habit
Re–
li
gieux,
qu'ils
achetent
pour m
u–
rir
&
etre enf<' velis dedans. Les
Moines
leur onr
infinue que
ce1tx
qui
porrent une
livrée
íi
refpeétée
ici-bas , jouiront fans contrédit du
bonhe
1r
des élus
&
ne pourront:
erre
cond.imn
1
s aux peines érer–
nelles.
11 ne faut pas s'en étonner : o
rcrait
que
cette
devorion qui
com–
men~a
en
France
dans le douzié–
me
fiécle ,
étant
auíli avanragenfe
qu'elle l'éroit aux Religienx de
S.
Frans:ois,
leur
fo:
avancer
q~1e
leu
o
iij