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connoírre les difpofüions natu{elles
de leurs cnfans. Pour cet
·ffet,
ils mettent devane eux diflérens
iníl.:rumens propres a differens oU–
v rages, comme des fu[eaux , de
la
laine , des cifeaux, des éroffes,
<les inihumens de cuiííne , &c.
{i
c'efl:
une fille : des harnois pour les
chevaux, des alcnes, des marreaux,
&c.
fi
c'cíl: un
gar~on;
& l'infhu-
11ent
que le caprice
1eur
fa.irpren–
dre dan
leur d 'lire , efr pour eux
une indicarion fure de lellr vraie
ocarion
a
tel
ou rel commerce :
e qui eft confirmé par le rapport
de plufieurs voyageurs
qui
fe
di-
fent
t
m ins de cecee particularicé.
L'on trouve dans la plaine
de
Truxi!lo
une efp 'ce d'arbriffeau ,
qui port
2
o
ou
3
o
fleurs mutes
différenres
&
de di verfes couleurs ,
toutes enclu111 'es enfemble com–
me un
trouffeau de grappes :
on
'appelle
flor
d l
paraijo
ou la fleur
de paradi .
Aux environs
de
Caxatambo
&
de