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y
rriva en
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, la
terre
n'y
pas et... auffi
fi
rtile en
bled
qu'elle
l'éroit auparav.int: c'eíl:p urquoi ils
n uvent mieux
leur
ompte
a en
faire
venir du
Clzili,
d'ou l'on en
apporte aífez rous les ans p ur l'en–
tt
etien
de
50
.
60
mille
hommes.
La monta
0
ne
&
le reíle des
c.11n–
pagne
fuffifent
pour
b
nourrirnre
de
ceu.· qui les
habitent.
t.ant aux fleurs
il
n'y
en a au–
c me
particuliere
a
ce pays ,
ex-
ep
é
le
niorbo
,
qui
reffemble un
peu
~
la fleur
d'oranger,
&
dont
l'odem efl: plus agréab]e,
mais
pas
fi
fo
·re. Cependant
FrJzier
a
don–
né la
defcripti n de quelques
plan–
tes ) qu'il croic meriter
attenrion
pour
l
s r
re
venus
qu'on
leur
atrribue.
Il
y
en a
t
ne, appellée
carapu!lo,
( m cro1t comme
une
touffe d'her–
be
,
&
pon
un
épic dom la dé–
collion
ca lÍe penda
1t
quelques
jours le
délire a
ceux
qui en boi–
vem. Les
Indiens s'en fervent
pour