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Lz
1 A.
r;;
ar
nir.
Il
mbloit que
b
divine
Prov id nce prenoit
fo
in de les
y
Gonduire pour lenr fauver
la
vie;
car dans
une conjonéh1re
auffi pref–
fante , perfonne n'em le rems
de
d '·lib ' rer;
&
quand m:me on l'a
1-
roit
eu ,
il
n'y
a
voit aucun
cndroit
dans
leqnel
011
eut pu fe croire
en fureté. Ceux
qui
paroiífoient
les
plus
fermes ) etoient fouvent
les
plus
foible ,
&
les plus foibles
au conrraire refiítoient quelquefoic
le
plus.
Enfin
la
coníl:ernation
fue
fi
grande, que perfonne ne fe put
croire en fureré,
qu'il
ne
file
forti
de la ville.
L
rerre fecouoit les batimen
~
&
édifices avec tant
de
violence
<pe chaque choc en renverfoit 1
plus grande partie ,
done le poids
achev
it en s'écroulam l
defrruc–
tion
de tour
ce qui
fe
préfenroit
?i
fa
rencontre ,
&
méme
de
ce
que
le rremblemem
avoit paru
vouloir 'pargner. Ces choc , quoi–
qu'iufia.ntan 's ,
fe
focc
doie1
t
ce-
y,