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T
R E M B L E .ME N
s
oél:eur
Wallis
des accidens qui ne
fe
font
malheureufement que trop
confirmes.
L'odem
folphureufe qui
accom–
pagne les éc.airs ,
&
ia
chalcur
é
ouffante qu'on rt::fpire ,
&
qui
eíl: un
iigne
or<linaire
que tous les
ecbirs ne
font
pas encore paíf
és
prouvent qu'ils
íont
en
par~ie
for–
més
de
vapeurs fulphureufes ;
on
peut auíll juger avec beaucoup de
probJ.bilité
que ces vapeurs fol1 hu–
reuíes font melées a vec des va–
peurs nitreufes ,
puiíqu'on
ne con–
no1r
aucune matiere
fi
fofcepcible
l une forre
&
fubite explofion que
celles-la.
Il s'.-1git maintenant
de
f~avoir
commenr ces
m~itieres
s'enflam–
menr poar produire une pareille
exploGon; for quoi notre Dolteur
dit avoir enrendu qu'un mcbnge
proporri nné de fouphre
&
de
E–
m ille d' cier amalgamés enfemble
au
moyen
d'un peu d'eau ,
prod
tira
non
r
ulement une grande
efler-
vefi
nce