2.42,
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RE M BLE ME Ns
qu'elles s'enfhmmem mieux. De
forte que
íi
l'on fuppofe dans l'air
un mclange convenable de v.. peurs
nítreufes
&
folphureufes,
&
qu'el–
le viennent
p,ir
hafard
a
s,enflam–
mer) il doit s'enfuivre
la
meme
explofion, avec un p.-ueil fracas,
&
autant
d'écbirs
que
fi
l'on met–
toit le feu
a
de la poudre
a
canon;
&
ces vapeurs une fois enfhmmées
paroitront d\me place
a
l'autre ,
felon qn elles feront r 'pandues ,
avec les mcmes effecs qu\me
fo[('
e
ou rrainée de po dre
a
canon.
Si
cette exploíion fe foit
a
une
certaine hameur en J'air
&
loin de
nous,
il
n'en réfulrera aucun mal,
non plus que d'une perite qnantité
de poudre a canon qu'on bruJeroit
en plaine campagne, aupres de la–
quelle il ne fe rrouveroir rien qu'el–
le put endommager. Mais
.G
au con..
naire elle fe fair pres de nous ou
immédiatemenr fur nons, elle peut
tuer tome forces d'animaux , fra–
caífer les at bre , bruler tomes
forres