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Cepertdant quc cecre
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.le
V1cct~Roy,
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efto1cenimpa.cienc:
d ,e. vor
la fi n,
&
gm ,ennuy-oit
de
la
l'oir
cra1ttee
par ·des
gen• ,
q
1n'
·fl:
_rent
pas d
fon
Jntelligence~ ,
depu a -v-ri lte
1gi-euxcie–
l'O rd
e
d
·fa n lt D
>mm1que,que·Je
Palentin
appelle
Fr(re
Mel~
th 1. or4es
Ro11,
&aue
luy
vn
des Pri
cipaux
de Cozco) qu'on -
• nommoitJeand.e
B
tanpo.r,
Mary
de
Madam~
Angeline, -Fille
.de
1
Ynca
.Aiahuatpa,
dontnous auQns par
le
cy-deu!lnt. lean
.de
Becan~os
e!loic f?uant en la Langue generalcde cc P-a'is- la,
I
&
ainfi' tant pou-r
ce
f
uiet' que pour
r
Alliance de
fa
Femme
auec
le
Prince
Sairy Tu pac,
le
Vic~-
Roy
trouua bon
qu'il
tine
c.or:npagnie au Relig1eux, afin de fcruir de Tru!=hemcnt, d,ex–
pliquer Jes
Lettres,
&
de
porter
la
parole
a
toute hcurc qu'i1
en
l.eroit
befoin.
Ces
deux Amba!fadeurs
partircnt done le
plufiC?ll
qu'ils
pu· ·_
rent, anecque
~eff..! in
d'executer ponltuellement Jes ordr('s du
V tee-Roy.
lls
prirent leur route en toute
diligence
par la Fron·
tiere
de
Huh11manca,
pource
qu'il
n'eft
point d,endroit
plus pro–
ahe
que
celuy
la,de
raduenue de
la
Montagne.
Auffi
,, ft
Ce
pour .
(erte raifon, que les Efpagnols nommerent
cett
V
iIJe
1'a>f11inEI
Jean de
la
FrontJt
re,
pour eftre en eff1v t F rontiere de
I
y nca;outre
·:
que ce fut au iour de la
Sainll:
lean que les
premit.rsConque–
rans du Petu s'0uurirenrvne enrree de ce
cofi:e-la.
Mais
quel–
qu~
peine
que
priff~nc
les
deux
Mdfagers.,
pour
y
en:rer de mef–
me;pource q .1e
f
es Indien
Capitaines,
&
Gouucrneursde
l'vn- ·
ca, apprehendant que les EfpagnoJs ne furpriffcnt leur Prince,
&
par confequent eux rnefmes, iJs s'aduiferent de boufcher
Li
bien le , chemins,
q
l,il
l'),Y
auoit aucun moyen
d'y
arriuer,s'il& ne
le
voulo e nc. Cela 6c refoudre le
Religeiux,
&
lean de
Becan–
~os,
de
s,en afler
par le
grand
chemin
~
que1ques
vingc
lieu
es
do
la,
pourvoir
s,1ls ne pourroient point trouuervn palfdge du co-
·
fte
d'
A r;t r1h11ay/t, .:;
mats ils
ne le
pu
ent non plus qu'auparauant: ·
~e u~y
li1Gouuerneur deCo.zco ayanteu adui par des lnd1ens,
t'
~
11
efcnu1t aux A mbJffJ.deurs, qu,i1s ne
(e
milfenc
p~s
dauancage
Ctl
pein,e ')
mais
~u'1ls
reuinffi.nta
c
zco
OU
J>on peuruoiroil
a
ce
qu*il
faudroit
.f
a1re.
Nous
defduirons dans
le
Chapirre
fui- ·
~
uapt
ce
qu~eh
efcrit
le
Palenc.infnr
cc
foiet,
c.lld
fcra
parle
des ;
' P
recauuons, des
fineffes,
&
cle la.merueilleufe adrdfe
dont
vfe- .