DEs
EsPAGNoLs,
DANS
LEs
INnEs.
pris P'our vn Ge nt, ·
l
de
I~
c inru re
e~
hauc pot!r n Nain. Il
parodfoit encore plus pectt a ceux
qu1
le voyo1ent a heual,
pource qu'il n'eftoit
~u;
cudfes ' ·
joinct
qu~1l
ne
fe
pouuoit
rie~
adjoufier a lad formICe
de
fon v1fage; Mais la N acure reparo1t
doublem nt ces d e faucs
du Corps
par Jes qualitez
de
l'Efprir,
telles en effet, qu'ell s font defcrites p r I>
A
uthe9r que nous vc–
nons de nommer: A
uffi faloit-il bi
en qt:i'elles fulfent grandes>
puis qu_e parellesy rell:o.?Iit dans le feruice de Con.Roy vn, Em.–
pi re q
i
fans
luy
sen
all01c eftre
perdu. Ie mefoumens
de l
au01r
vet:l plufieurs
fois)
&
parciculierement vnjour entr'aucres,
qu'il
efi:oic dans·vne petite
G
lerie de la
Majf
on
demon Pere,
d'ou
il -
regardoit
les
courfes
des
Taurea.ux,
~
les jeux de.
Can~s, q~i
fe
faifoicnt a
la
Place. 11
d
emeuro1ten 1
VB
d
s
L
gis
qui
efio1e n t
al ors a
Thomas
Vafquez,
~
qui
font
main
tenant
a fon Fils Pe–
dro
Vafquez, fcicu ez du cofl:e d Co
~lchant,
vers le Conuenc de
N ofrre Dame de Ja
Mercy;
Etla mefme auoi cencorc
lo
e
G
n–
~alo Pi~arrc.
Or bien qu'au d r ricre de
ces
M a ifo ns , du
cofl:e
qui regarde la
Place,
ii
y
eut vne F ne!lr t! for t gra
ode,
d' ou
le
Licencie Gafca
pouuoit
regarder 1 s
J
ux pu b ic ;
fi
dt
c¢ qu 'i l
a ma m ieux
le
voirdela
c1leriedemon
Pete, d ,ou ,on re
r–
d~it
droit
au milieu
d
la
Pla\..e.
Paff
ns
maintenant
au
recit
des Allions
rnemo rables de ce
grand H omme,
ou
la Lance
&
l'Efpee
eurent
moins
de
pare,
que la Prudence
&
la bonne C nduite,
done
il·
vfa
pour
donner
ordre aux
chofes
nee
{fa.ires au faitde la Guerre,
&
ainG
venir
a
bout
de fes
precentio
s: apres I'
xecurion
d
fquellesil
n'auoit
point d'autre but que de
[e
ri r~r
d e
cePa'is
bagues fauue
,&
dans
vne plaine
11berte.
Ces alt ions
furent des
exc
z de
Patience
dans les trauaux qui s'offrjrent
a-h1y ;
qui Je fceut vaincre pour.
tant) auffi bie que Jes railleries '
&
les ·
ffronts
que Jes g ens
de
Glaerre$'eftudioientd~
lu y
£
ire
a
touce h eu re. A
quay
ii
freut
ioindre
encore
tout
ce que la
R ufe)
la Corn pl
ifance
&
l'Adref
...
feontderaffine,
pour fonder,
t
niren brid d,&furmonteringe –
nieufementles tours de
foup leffe)
&
les
fec r
rs
opiots que fes
Ennemi faifoient contre
luy.
II n'en
fa
t
poin
d',tutre
preuue
quefaC
ri
_uire en toutes fesEnt re
rifes,, qui
frmb}era
merueif–
leufe a q
11conquef~aura
bien
conGdere rd-a ns
qu lie
conf11 6 0e~
it
le eru, quandiJ entreprit de I remet
re
n fon
lulhe.Orlatifant a partla
N
auignion <JUe
fit~
e
Prefident
(no
usle
nQ :·