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autre~
pays héréditaires de l'Empereur, --–
d'ou il leur fera facile de pénétrer juf-
'7l9'•
qu~a
Vienne
'?
Une relle condition ne
1\
'
1\
1
r.
~
peut etre
qu
extremement onereu1e
ct.
l'Emperem
&
a
tout l'Empire.
3°.
S'il efl: vra.i qu'on cede
a1:1x · en–
nemis le Royaume_de Servie
&
la Va–
lachie Impériale , dans un ternps o
u
les
armes des fideles alliés font par- tout
viaorieufes , rien ne
me
femble plus
contraire aux intérers des .deux Mai–
fons ImpériaLes.
Et
certainement on
n'auroit jarnais pu faire une
pai-x
plns
défavantageufe'
quand
meme·
1'
ennemi
auroit pris B·elgrade
&
battu
1'
Armée
.Impériale.
Enfin qu'eíl: devenue· cette alliance
facrée qui devoit fubfiíl:er entre les deux
Cours
?
Du cot€ des Ru{fes
0n
pren<il
des fortere:lfes,
au
c0té des Impériaux
@n
les fait démolir
&
on
h~s
cede aux
ennem!s. Les Ruffes acquierent des prin–
cúpautés ; les lmpérraux ren_den
t auxTurcs deS- roya1:1mes enti€rs. Les
ft.uf-. fes réd uifent_
1'
ennemi
a=
F
extré
mité;
le~.
Impériaux lui accordent tout ce
qu'il veut
&
tout
ce qui peut flatter
&
augmentet (on orgueil.
De
_la, pavt
des.
.e
iij