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r~chal
avec
la
référve
dé
1'
Armée prit
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l'autre.
La
marche fut beaucóup re-
17"41~
tardée ' paree
qu
le chemiri étoit fort
érroit
&
qu'íl
falloit
faire
halte
a
tout
moment pour l'élargir , en coupant les
arbres des deux cotés ' afin de faire
paf-
fer le canon. LeMaréchal fit de nouveau
reconnoitre le retranchement par un
Officier , qui rapporta qu'il
~'en
étoit:
approché jufqu'a
la
barriere fans avoir
apper~u
perfonne. En meme temps
le
Généra.l Lewafchew fit dire
que
fes
Huífards avoient franchí le retranche-
ment,
&
l'avoient trouvé abandonne
par l'ennemi. Aufli-tot on détacha quel.-.
ques troupes léget es
a
la
pourfuite des
Suédois ; mais elles rte purent lés at-
teindre.
~eux-
ci avoient pris les
de~
vans pendant la nuit
~
&
étoient arri-
vés
a
Fredrichs-Hamrrt avant" qu'on fut
leur
fui te.
L'Armé
e Ruífe
paífa le re–
tranchemertt
&
prit le camp que
le~
ennemis venoient de quitter. Plus les
Ruífes examinerent
ce
pofte , _plus ils
furent furpris que les Suédois
1'
euífent
abandonné ;
oh
le
trouva extremément
fort , tant par la nature que par l'art.
Tout le monde convint que s'ils
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