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meme jour
qu"elle
monta_ fur le trone
.l¡41'!
l_a liberté
a
Moníieur Didroq, Capi–
taine
Suédois,
&
priforínier de guerre
a
Petersbourg. Elle envoya cet Officier
au Comte de
Lrewenhaupt
pour lui no–
tifier
fon
avénement a
u
trone,
&
pour
luí déclarer
qu'
elle donneroit volontiers
les mains
a
un accommodemet)t avec
la
Suede. Le
Marquis cle la Chetardie
écrivit en meme-temps au Général Sué:–
dois ,
&
1'
ort convint d'une treve pen–
dant laqoelle on travailleroit
a
la
paixo
Ptthentions
Les Suédois qui s'imaginoient d'a.;.
tif¿~ ~~édo~~~
voir
h~auco\lp , contribué
par leur diver–
:hon,
a
placer l'Impératrice fur le
T
rone,
formere~u d~
grand·es prétentions ;
Hs
' n'efp~roiéfit
pas m,oins
que-
d'obtenir
toute la Finlande avee la ville ·deWi-
- hourg ; wais Us fe trpmpoient
,
l'Impé–
r-atrice-
ne
voulut
jamais confentir
a
cédev un
po~ce
de terrain des
Pro–
vinces
que
fon pe
re avoit
conquifes.
Jj:lle
offrit
de
d~dommager
&
de
re–
·compenf@r la Suede avec de l'arge-nt· ;
ce que la
~ol,!r
de St6ckho1m refufa:
-
~iníi
la trev€ fut
a
peine expirée le
•
1
-
'.s
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p-remier
dtr
Mats -c¡u'on
J;f;Con:u~~n~<~:
ta.
~en·~'!
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