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yeux
ne le trahiífent ,
il
fay0it les
re~-dre immobiles.
' Sa ·
m~niére
de vivre dms fon do..
mefrique étóit auffi fort extraorclinaire.
11
ajoutoit encore
a
la
mal-propreté
des,
¡{uffes
&
des Polonois. Ses apparte–
mens étoient
tr~s-mal meu~lés ~ .
&
fes
gens
ordin~irement
vetus comme
des.
gueux. La vaiffelle c;l'argent dont il fe
íervoit tous lt::s jours ' teífembloit
a
du
plomb, tant elle étoit tnal-propre,
&
.fa table
n'
étoit
bi~n
fervié qu'aux re...
pas de
cé~émonie.
Son ha,billéinént,
fur-tout
l~s
dernieres années qu'il
né
fortoit plus de fon cabit?et que pour fe.
mettre
a
tabJe ' dopn_oit ·du d.égo,ut' tan1i
i1
é_toit fale. ·
_
- 11
éroit fi..ls de Jean Conrad
Ofier~
p1aQ,
P~fieur
de Bockumen
W
e.fip~alie
•.
L'
Amir
al
de Pierre
1
,
Corneille Cruys
l
le prit .
a
fon fervice
en
qualité de Se
eré.;
·tair~
a_
Amíterdam ,
&
l'emmena
e~
.Ruffie
vers .l'an
17.04.
Quelqt.I~s
années apres. ,
Piet;"re 1:
fe
irouvant
fur ·Ie
vaifféau
de rAmiral
~
·&
voulant expédiet ·queLques affaires,
~emanda
!1
Cruys
s'il
n'avóit
perfonne
~~ ~on~ance
poi:Ir
f~_ire
'fes
a~pe~~~~
..