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l vf O

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E

S

~~~

un détachement , pour empecher les

1

74

1 •

Ruífes de l'occuper.

Le

reíl:e

du

ter–

rein efr extremement coupé ; ce ne

font

que bois, marais

:J

·

brouífailles, rochers

&

ravins.

De-la il

eft tres-difficile de

s'approcher de la ville ,

fi

ce n'efl:

par

le

grand chemin. On ne trouve

que

par-ci par-la des champs labourés en–

tourés de haies.

L'on conviendra qu'il

y

a

bien des

difficultés de faire agir des

T

ro

u

pes fur

un femblable terrein ,

&

qu'un petit

Corps qui fait bien fe défendre, peut

facilement en défaire un plus grand qui

!'atraque.

'.Aéliol'l de

Le lendemain 3 Septembre , on vit

Wilman-

que les ennemis s'étoient campés entre

fl~and,

1

d

¡·

&

1

1 .

a montagne u mou In

e g acts.

Vers les dix heures du matin

:J

un

Partí Suédois s'approcha de l'Armée

Ruffe pour la reconnoitre,

&

fe retira

d'abord.

Le Maréchal

n~

favoit pas encore

aú juíl:e quelles étoient les forces de

1'

ennemi ; il penfoit que

les

deux Corps

de Buddenbrog

&

de W rangel s'étoient

réunis pour venir au fecours de

Wil–

maníl:rand. Ainíi

i1

jugea

qu'il

feroit