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R.
u
s
s ·
r
e;
119
'de
l'Emper~ut
meme;
&
en
Ruffte
le~
.., "
00
·t>
enfans des Souverains
Y!
e _paroiífent en
i74
n
public
qu~
apres
un a
:.paífé )
ce
qui
Qe~
cafiona
~·es
di!ficultés
d~ ~art
&.d'autre.,
Enfin
Monfteur
de
1~
Chetard1e
ayant
quitté
~e
caraB:ere
d'
:f\mba~ad~ur, ~ut
1:1ne audience
pa~ticuliere
ele la Grande–
Ducheífe
dans
i'appartement
de
l'Em~
per_~ur.
. .
.
,
!..
Tout paroiífoit tranquille
dans
l'Em-
Conduire
deJ
pire ;
auffi
p~rfonne n'a~o~t-,il Ii~u
de
la R:égeñte.
fe
plaindre.
J
amais
1~
Ruffie n'a
voit
été
gouv~rné~
avec plus de 'd<?uceur ,
que
p~ndant
1'
année
e\
e
la .Régence
de la
Grande-
Ducheífe ; elle a:imoit
a
répandre
de~
graces '
&
par~iífoit
etre
e~nemi-e
de
toute
rigueu~.
Elle.
au-
roit
été
heure~fe
,
ft
fa conduite .dans
l'intéri{¡ur
de
fa maifon avoit
été
auffi.
honne .que
~elle
qu;elle
ten~it
en pu-
hlic , _
&
(t
ell~
avoit
vo~lu f~ivre
les
confeils
d_es hofl:?.mes
fe~f~s
_,
&
né pas
fe
livter
fans
réferve
a
fa
F
avorite. ·
.. Julie
~e
Mengdeh
t!-'avoit
pas
eu
d'autte éducation que celle
qu'o~
donn_e
Grdirtairem€nt en Livonie aux
Demoi–
felles de
quaiité.
Elevé~ po~r.
la
plu~
part
a
la
campagne '
€lles
font
dell:i-
Tome
JI&
I