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gent le chargeoit foüvent
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ces fortes ·· · ··
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de commiffions qui regardoient _la Prin-
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749~
teífe
&
fon époux ' il eut occafion
de
leur parler des injuilices du Régent
&
de les plaindre.
.
.'
Un jour que Moníieur de Munich
-\rint
a
fon ordinaire anrioncer de mau–
vaifes nouvelles
a
la Pririceífe de
la
part du Régent, elle
{é
plaignit amére–
ment de tous les chagrins. qu'on Iui
·
~aufoit:
elle ajouta qu'elle étoit teritée
de quíttér la Ruffie ,
&
de fe rendre erl
Allemagne avec fon époux -&
fo~1
fils;
ifayant
qüe
des ennuis
a
attendre ; tant
que Biron tiendroit les fenes du Gou.::
verneinent. Le Maréchal;
qui
n'atten..;
doit qu'une occáfidn pour s'ouvdr
a
elle ' lui
répon~it
; qu'il étoit vrai
que
fon Alteífe Impériale n'avoit rien
a
ef-
pérer du
Régent ; que cependant
elle
)
rie
devoit
pa.s.fela~ffer ábattr~
,
~ q~e
(1
elle yo
ulott avotr confjance en lut
,
il
la délivreroit
bientat
d_e la
tyránnü!
elu D4c
de
Coutlande.
.
, .La
Princeífe accepra
fes
offres
fáns
héfiter ,
elle
lui
hliífa
totite
lá direéliori
de cette affaire
il fut conclu_
que
le
Tome 11&
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