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E .

R,

v s s

1

E.

3;

dioc.re

,

étoit fort bien

prife.

Elfo

avoit -

----- –

quelque

chofe

de

languiífant dans fes

1

7

2

9_._

.grands yeux bleus.

D'

ailleurs elle ne

manquoit ni d'efprit ni d',éducation.

C'

eíl: cetre Princeífe

donr Pierr.e

It

dtvint éperdument

amoureux.

L'Em·

pereur

ayant

fair pluíieurs voyages

&

des parties

d.e

chaífé für

les terres

de

Dolgorouky

le favori,

i1

lui

donna un·

jour ·

a

déjeuner dans une maifon de

plaifance qdil avoi~

pres

de Mofcow.

I1

y

avoit

1

fait

venir

fa

freur

&_

la

pré~

fema

a

l'Empereur,

qui

ré-folut

d:es

ce

moment de

l'époufeir. .

~

.

Le

1

9 Novem.bre Sa

MajeJlé

tit

,dé~

L'l!m~eret1t

I

1 . C.

r.

1

r.

.

.

.

,

fait

dédaret

C

arel' en p em

ontel

10n mtennon a

qu'il veut

cet égard Peu de

ours

apre.s

il

fit

ép?uíer la

..

·

Prtncefte

íignifie'r aux Mini{hes

étran:gers ,

&

Dol&orouk~ -

ordO.fil!)er

a

tOUS

·ceux

c[UÍ

avoient

a

paroitre

a

la Cour, d'en· ·faire fos com~

plimens de

f

élicitation.

Le. 3-0 du m~me

mois les

fian~aiHes

fe firent

aVieC

loeau;.

<:o

up

de cérémonies

dans

le

palais

de

Le

Fo.rt,

ou

l'Empereur

Jogeoit en ce

temps-la.

La

Princeíle

y

fot

conduite

dans

les

éqoipages de la

Cour ,

& .

1'

Archeveque de N

ovogrod

bénit les

fian~ailles.

e

ij