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.BRECE DE LA
r
JE
lons de Grenapiers , il inquiete · I'en–
nemi par
fa
contenanc~ fiere ; il fait
avancer deux bataillons pour sJemparer
d'une hauteur garnie de Troupes
&
d
Artillerie ;
&
voyant que la
confu–
:íion commenc;oir
a
fe
mertre parmi fes
Gen , il
y
marche lui-meme
a
la rete
des deux autres batai llons : au milieu
d'un feu terrible, il avance avec célé–
ri~é; un cheval tué
fous lui ne ralentit
point fon arde ur , il marche a pied ,
&
fo
ce
l'ennemi par fon audace d'aban–
d
nner
fa
p
flt"on
avantageufe.
On lui
a ene n autre
cheval
pour
pourfmvre
~
n·a antage ;
il
n' en a plus befoin, les.
Autri hiens e 1foncés de ro us
corés
ont
pr·s la fui te
&
ont
abandonné la
viétoire
au
Prufüens. Manftein vit alors un
1i
0
8-acle bien touchant pour un ami
del
hL
manir' , un champ immen(e cou–
ven
e morts & de mourans ,
&
fon
G
'n
' ral, le brave Schwerin, du nom–
bre
d
prem1ers.
L
lendemain
de
cette bataille ,
Manfiein ,
ayant
fo us lui Putkammer,
C
l
1
el
de
Huífards ,
fut
envoyé
a
Brand
i~
p ur pourfüivre'
l'ennemi
fu..
gitif
pour
prendre poíl:e
a
cet en,.,