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E.
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r
3
geans
paifibles
poíf
eífeurs du
poíl:e
~~~
qu'on ver10it de leur
enlever , firent
17
36.
des
forties
conrinuel1es ;
mais
comme
on
s'y
étoir attendu,
on avoü doublé
la
garde. Ils furent.
toujours
repouífés,
&
les batteries
&
les
logemens furent
bien
établis..
.
Le
1
8
une
bombe
tamba
dans
un
.des plus
grands magafins
a
poudre ,
íitué
au
milieu
de la
place. Cinq
Mof.
quées
&
pl-us
de
cent
maifons
en furent
renver(ées,
&
plus
de
trois
cents hom–
mes
y
perdirent la vie.
On
continua
en~ore le
travail
de
la
fappe
jufqu'au
28,
que les Affié–
geans
fe
trou
verent au
pied du
retran–
chement,
les ennemis leur
ayant difputé
le terrain pied
a
pied. Cependant M.
de
Lafcy
qui commen<;oit
a
s'ennuyer
de la
longueur
du
íieg.e,
commaud.a
le Colonel
Lohmann
avec huit cents
Grenadiers ,
f.ept
cents
F
uíiliers
&
fix
cents
travailleurs
pour
forcer
la
ligneº
L'attaque
commens:a
a
minuit :
les
Affiégés
fe
dédndirent avec
beaucoup,
d'
opiniarreté,
&
firent jou~r deux mi–
nes qui
ne
firent
aucun
mal ;
enfin ils
furenc
obligés de
prendre la
fuite
&
o
iij