D
E
R
(J
s
s
1
E.
.131
avant que les _Ruífes titaífent un feul
~~~
coup. Mais ayant a1or~
·fait
leur ·
dé-
·
1
7-34-.
charge
a
propos, ils continu~rent
a
faire
grand feu. Les F ran~ói~·
fi:rent
pluGeurs ·
tentatives
pour
forcer le · r'etraJ:?.·che-
ment ; mais
voyant
qu'ils. ne ..
pouvoient
pas en venir
a
bout , ils fe retirerent,
ayant laiíf
é
cent foixani:e hommes
de
tués fur la
place ,
du
t1ombre
-defquels
étoit
le
Comte
de
Plelo ,
Amba{fadeui
du Roi
Tres -
Chré.tien
a
Copenhague.
Ceux de
la
ville,
voyanr
que les Fran-
\
~ois avóie:nt été repouífés.,
fo
retirerent
derriere leurs rem
parts.
Otf'-
les
pour-
fuiyit
jufqu'au
glacis.
·
·
Monfieur::de -Munich
avoit
confom- .
mé
toutes les
halles'
bombes
&
'muni..:
tions par
le gr.and-
feu
qu'
on
~voit
fait
fur la ville.
Il étoi
t dan:s . l' efpérance
que les Saxons
en
apporter.oi~nt
u'h~
nouveUe provifion;
mais· ilS:n'en
eü~
rent point
a
leur
artivée : ·
ainfi-
le
feu
fe ratlentii beaucoup ,
"&
on
:atr.endit
avec d'autant plus d'impatiénce :.l'arr-i(
vée
de la flotte Ruífe "quf
-~1.Y
~
av~~–
chargé une bonne
quamiré.
,
.,,
La nuit dú
2·8
au
29
les
Saxons·
-rele""·
:verent
pour ~a
premiere
fois .
les Rµífa !i,
I
iii
-