INTRODUCTION.
ix
fatigue
.
/en aurois
pu
donner un
nouveau dans le
méme genre,
je
fa–
tiifáis
.
a
cette quejlion
par
deux ré–
ponfls. la
premiere
efl
qu'il m'en
a
paru digne,
&
qu'y
retrouvant
le.
génie de
l'
auteur, avec· la plupart
des az¡.tres -qualités qui lui
ont fait
une réputation dijlinguée,
je n'ai
pas cru mon
temps
mal emplo_yé
a
faire pour .fon Grandijfon,
ce
que.
j'
ai fait alfe'{ heureufamen,t
pour
fa
Clar~ffe.
Ma
flconde
réponfé pa.Jfera,
fi
l'on veut' pour un
caprice
d'artijle'
qui
veut
/aire
des
ej[ais dans un
ge:zre
qu'il a long
-
temps exercé.
A
pres
ávoir
vérifié,
plus d'une
fois,
que
les grandes fóurces
de
l''intérét
jont
dans
le
tragique,
j'
ai
·
voulu
u.nter
fi,
.fans remuer
l'
ame avec tant de.
force, on ne
pouvoit
pas
r
auaclzer
aujfiJenfiblement
par
de
plus
douces
impreffions.
L'hij~qire
du chevalier
Grandiffon m'a
paru propre
a
cette
expirience~
Elle
n'o.ffi-e poiTZt
d"in-
a
J.